Opposition de contrôle (des vrais résistants), virus, tests PCR et complotueurs

Dès le début de la prétendue “pandémie”, une des fonctions essentielles des Christian Perronne, Didier Raoult, Louis Fouché, Jean-Dominique Michel, France-Soir, Bon Sens, CSI et autres Xavier Azalbert et Silvano Trotta, a clairement consisté à faire accepter l’idée de l’existence de virus et, en particulier, d’un nouveau virus (SARS-CoV-2) et de ses variants (1).

Un autre objectif, inséparable de cette fonction essentielle de cette dissidence-là (au sein de laquelle j’ai participé activement jusqu’en 2021), a été de contribuer à créer et, ensuite, à consolider l’image (éminemment trompeuse) d’”institution résistante” de l’IHU-MI; un organisme fondé, financé et administré par les industriels Mérieux et des entités publiques françaises.

À l’image de son ex-co-directeur (Didier Raoult), durant la prétendue pandémie, cet IHU a été à la pointe en matière de promotion de l’utilisation de ce que Pierre Chaillot a appelé “le moteur général de la fraude pandémique”: les tests PCR. Selon l’IHU-MI, ces tests sont censés permettre la détection de virus et la validation (ou l’invalidation) des protocoles de traitement de leurs prétendues victimes.

Dans une admirable intervention réalisée par Tom Cowan, l’arnaque de la croyance “scientifique” en l’existence du virus SARS-CoV-2 est magistralement dénoncée :

Tom Cowan décrypte (entre autres) le documentaire de Nexus au sujet de l’IHU-MI

Compléments d’informations concernant l’acteur institutionnel “français” (transnational) le plus impliqué dans l’organisation de ce complot:

https://dr.kreyts.fr

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